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Des enseignants du monde entier sont invités à vous faire découvrir leurs danses, musiques ou art-thérapies.
 
   
MARIE-FRANCE JANKOW
Initiée dès l’âge de neuf ans à la danse, je remercie les nombreux professeurs, Brigitte Monneyron et Philippe Dahlmann à Lausanne, Serge Golovine et Peter Heubi à Genève, Peter Goss, Peter Maureen (Cie Caroline Carlson), Nestor Capoeira, Ahmed Cissé Tidjani et Guem à Paris qui ont toujours su renouveler en moi la passion de la danse, classique, moderne, contemporaine et africaine.

J’ai eu la chance inouïe, déjà adolescente, de rencontrer des personnes qui m’ont permis de découvrir le monde du yoga, du soufisme (Kudsi Erguner et Näzih Uzel), les différentes danses indiennes, le travail subtil de comédiens-danseurs balinais tels que Tapa (Cie Peter Brook),  et d’être formée au shiatsu par le maître japonais Iroshi Nozaki, ainsi introduite à la voie du massage par la relaxation coréenne ≈.
A 17 ans je remplaçais mes professeurs lorsqu’ils ne pouvaient pas donner les cours et à 18 ans j’étais responsable de l’initiation à la danse des enfants, élèves du Theatrical Ballet School de Golovine, tout en préparant ma maturité fédérale en langues modernes (français, allemand, anglais, italien) au gymnase de la Cité à Lausanne.
J’ai ainsi très vite développé mon goût de l’enseignement, avec l’envie de partager mon amour de la danse et d’aider chacun à vivre joyeusement l’exploration de son corps en mouvement.

A 20 ans, engagée par Jean Destroper à l’INPER (Institut de Perfectionnement des Travailleurs sociaux), j’ai vécu mes premières expériences d’enseignement et de pratique en danse et musicothérapie aux côtés du musicien Gérald Gorgerat. D’une institution à l’autre, j’ai ainsi découvert l’effet magique de l’art sur le monde des enfants et adultes en situation de handicap et de leurs éducateurs, monde que j’ai retrouvé depuis 2006 comme enseignante dans le cadre des cours de formation continue pour adultes en situation de handicap du canton de Fribourg.

J'ai également participé à des spectacles, festivals et tournées, en Suisse romande, en Belgique, en Grèce, au Québec, en Corée, en France et particulièrement à Paris. et organisé des cours et des stages en Suisse, en France, à Bali et en Afrique de l'ouest.

A 24 ans, avant de me marier et de connaître la joie de mettre au monde deux merveilleux enfants, Nadège et Igor, et après 15 ans de formations et de spectacles dans le monde, dont 5 ans à Paris, j’ai eu besoin de me rassembler. J’aspirais à faire une synthèse de toutes les techniques que j’avais apprises et de trouver mon propre chemin. Je me suis alors installée en Suisse pour créer une famille et ouvrir ma propre école.

J’ai commencé par m’allonger parterre tout simplement. J’ai attendu tranquillement que mon corps se mette en mouvement...se déploie...s'éploie et se déploie à nouveau, tout doucement...suivant mon souffle de plus en plus ample et profond...et découvrant sa propre danse. Je me suis rendu compte qu’il m’emmenait dans une sorte de mouvement perpétuel avec une infinité de variantes qui me faisaient naturellement rouler, par vagues, telle une outre pleine de liquides sur le sol, puis m'élever sur les genoux, les deux pieds, sauter...redescendre encore, épouser la terre...pour mieux rebondir encore.

J’ai approfondi mes connaissances en massage harmonisant et en relaxation coréenne et, tout en gardant un amour profond pour les danses traditionnelles d’Afrique ou d’ailleurs, je me suis inspirée de toute cette exploration pour créer mes propres chorégraphies et enseigner la danse selon des méthode que j'ai appelée  "Danse Ethno-contemporaine", "Conscience Corporelle", "Mouvement Relaxant".

Ce qui m’a particulièrement frappée, ces dernières années, c’est le besoin des humains, de toutes cultures confondues, d’entrer par divers rituels dans un mouvement qui les élève progressivement vers un état d’extase. Aussi différente que puisse sembler être la danse africaine de la relaxation coréenne par exemple, il s’agit de mouvements absolument similaires d’ondulations qui parcourent la colonne vertébrale ou d’oscillations et vibrations qui mettent en mouvement tous les liquides, organes et cellules du corps. Dans les deux cas, c’est une danse des sens qui emporte tout notre être dans sa sensation d’appartenance à l’univers infini. Merveilleux voyage qui nous rassemble, nous unit et nous réunit.

Comme nous n’avons pas toujours l’opportunité d’être à deux pour pratiquer la relaxation coréenne, j’ai cherché comment provoquer les mêmes oscillations, ondulations ou vibrations en solo, ce qui m'a ammenée à développer une méthode  d'"Auto-massages par le Mouvement" qu’on pourrait appeler aussi "Danse-Massage". Outils que je propose d’intégrer lors des séances individuelles et de couple et lors des cours de conscience corporelle.

Marie-France JANKOW
Studio L'Inkourao
142 route du Village
1609 Saint-Martin (Besencens) FR, Suisse
portable: +41(0)78 605 39 45
e-mail: in_kourao@bluewin.ch


VAISHALI TRIVEDI
VAISHALI TRIVEDI

I am a Kathak dancer/singer for the past 25 years, had opportunity to dance in more than 45 countries around the world. I have worked with several well-known artists like Mrs. Kumudini Lakhia, Pt. Birju Maharaj, Pt. Ravi Shankar and choreographers from France, Germany, Italy, USA, Switzerland, Brazil, Pakistan. I practice and teach Kathak at Kadamb Centre for Dance, Ahmedabad for the past 20 years. I was trained in Kathak by legendary dancer/ choreographer Mrs. Kumudini Lakhia. I continue to create and perform Kathak dance performances. How did the idea of offering a Kathak dance workshop come to mind? As most of the schools of Dance give year a round dance training, there are few people who are curious




NJAMY SITSON

Le chanteur compositeur et comédien Camerounais Njamy Sitson est issu d´une famille de musiciens. Après ses études à L´Université d´Augsburg, il se consacre à la recherche musicale et dispense dans divers pays européens des cours de chants africains avec pour spécialité: "Les chants polyphoniques d´Afrique Centrale".

En tant que compositeur Afro contemporain et héritier de sa culture ancestrale, Njamy Sitson maîtrise la transmission de la vision et de la pratique musicale africaine aux Européens dans " le Rendez-vous du donner et du recevoir ".

Il a à son actif deux Cd: "African Angel" et " Kulu"

Njamy Sitson est Professseur au " Freies Musikzentrum" de Munich
Professeur invité aux Université de Musique de Dresden et de Munich,
aux Académie musicales...
Membre  EVTA / European Voice Teacher Association.















FREDERIC WENDPANGA BELEMKOABGA est né près de San Pedro, région côtière de la Côte d’Ivoire. Il a grandi à Bobo Dioulasso, deuxième ville du Burkina Faso, au coeur du quartier très traditionnel de Bolomakoté.

La ville de Bobo Dioulasso est un carrefour culturel très important. Peuplée de plusieurs ethnies burkinabées différentes, de par sa position géographique, elle réunit également des artistes de toute l’Afrique de l’Ouest.

Bercé durant toute son enfance par le son des balafons, baras, doums et djembés, Frederic a, comme tous les petits garçons, joué des percussions sur les boîtes de conserves, sur les bidons et autres objets sonores. Lors des fêtes, les adultes offraient des beignets aux meilleurs petits danseurs, ce qui encourageait les enfants à donner le meilleur d’eux-même lors des diverses cérémonies traditionnelles.
Comme adolescent, après la menuiserie, il s’est lancé dans le commerce des cartes postales artistiques avant de les créer lui-même et de développer ses facultés créatives sur des tableaux et des batiks, en compagnie de son cousin Mory Ouattara, actuellement diplômé des Beaux-Arts à Lyon. Durant toutes ces années, Frederic BELEMKOABGA Wendpanga, dansait dans sa chambre sur toutes les musiques à portée de son oreille.

Lors d’un baptême traditionnel, alors qu’il s’était lancé dans le cercle de danse, sa performance a surpris tout le monde et les encouragements, l’ont, dès lors, amené à suivre tous les cours et répétitions à disposition. C’est ainsi que petit à petit il s’est fait connaître dans le milieu professionnel de la danse à Bobo Dioulasso.

Durant le stage international de danse africaine et afro-contemporaine organisé en 2015 par Bolo’Art avec Merlin Nyakam pour la danse et Marie-France Jankow pour la conscience corporelle et la relaxation coréenne, il a été remarqué par cette dernière, notamment grâce à son énergie positive et sa présence, discrète mais assidue, aussi bien aux cours amateurs que professionnels. Mais c’est surtout sa danse à la fois bien ancrée et aérienne de guerrier-oiseau qui séduit lorsqu’on le regarde évoluer.

En digne descendant du grand guerrier Tiéfo Amoro, il offre une danse posée et solide associée à une grâce fine et légère. Depuis 2016, invité régulièrement par le Studio l’Inkourao, il a participé aux cours et stages en Côte d’Ivoire et en Suisse romande. Stagiaire dans le milieu de la danse contemporaine, des thérapies manuelles et du handicap, il enseigne les danses bobolaises et mandingues et se produit en tant que danseur lors d’évènements et animations. Il profite de ses voyages pour se perfectionner dans les différents styles que chaque pays peut offrir.

Michael Ormiston, multi-instrumentiste et chanteur le plus expérimenté de Grande-Bretagne en Chant Harmonique Khöömii Mongol, voyage depuis 1993 en Mongolie, où il fut initié aux plus incroyables moyens sacrés et séculaires de se connecter au pouvoir de la voix, par un ancien gardien de la Tradition Mongole, Tserendavaa. Son enseignement du Chant Khöömii, des Bols Tibétains, des Gongs et autres instruments rituels est à la fois instructif et exaltant

Candida Valentino est l’une des seules femmes occidentales à avoir appris et développé le chant harmonique mongol grave Kharkhiraa.





















SALVATORE MECCIO est né et a grandi en Sicile, d’abord immergé dans la culture paysanne d’un petit village, puis dans celle, urbaine, de la ville de Palerme. C’est dans ces lieux qu’il a respiré l’air populaire, poétique et musical, riche autant de traditions anciennes que de nouveaux développements culturels de fusion ou de métissage ; c’est là qu’il a apprit l’art de l’écriture de chansons en dialecte et à s’accompagner de la guitare battante, des tammorre et des tamburelli, les instruments typiques du Sud de l’Italie.Inspiré des grands maîtres siciliens tels qu’Alfio Antico et Massimo Laguardia, ou de l’italo-français Carlo Rizzo, il a développé sur la tammorra et sur le tamburello un style fondé sur les techniques siciliennes, des Pouilles, de la Campanie ou de Calabre.Après un parcours de concertiste avec divers formations sur les places, dans les écoles et sur les planches de nombreuses scènes de festivals de musiques ethniques du monde il aboutit à Genève où il se propose de partager son savoir musical au travers de cours de technique de base, individuels ou collectifs, sur la tammorra et sur le tamburello, pour les débutants comme pour les percussionnistes chevronnés.

MASSIMO LAGUARDIA est né en Sicile et vit à Palermo. Depuis sa jeunesse il s'est passionné pour la musique populaire. Il a d'abord étudié la musique sud-américaine puis s'est focalisé sur la musique populaire du sud de l'Italie. Il en est devenu l'un des meilleurs représentants aussi bien avec la voix, que la tammorra et d'autres instruments de percussions. Après la fondation du groupe Agricantus dans les années 80, il rencontre Alfio Antico, grand maître de Tammorra, qui lui transmet  la passion de cet instrument. Il développe au fil des ans une technique personnelle de haute virtuosité. Au début des années 90, il fonde le groupe Tammorra avec Salvatore Meccio et d'autres musiciens avec lesquels il entreprend une activité de concert internationale très intense. Depuis 1999 il transmet son savoir avec une pédagogie très subtile liée à un profond charisme aux débutants comme aux professionnels dans toute l'Europe.